
Cet été, les moissons ont été tardives et longues. Les exportations du port de La Pallice s’en ressentent.
Excès d’eau, gel, sécheresse : cette année en Charente-Maritime, la météo ne s’est pas révélée optimale pour l’agriculture. Il y a quelques jours, à l’heure de dresser un bilan de la campagne 2021, les responsables de la Chambre d’agriculture de la Charente-Maritime et des Deux-Sèvres ont insisté pour dire que les rendements ont été très moyens, tant en quantité qu’en qualité. Cependant on reste en deçà des années précédentes.
Une baisse des rendements qui pourrait avoir un impact à la hausse sur le prix de l’alimentation animale dans les prochains mois. Et donc du lait et de la viande : « Mais est-ce que le marché va l’accepter ? », s’interroge Nicolas Joyet, directeur de l’abattoir de Surgères, une entreprise qui abat chaque année près de 15 000 bovins pour les bouchers, la grande distribution ou encore les magasins de producteurs.
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