C’est sur la scène de L’Envol de Longèves qu’Émilie Marsh poursuivra son voyage en terre natale, le 1er avril prochain.
C’est bien d’escale dont il s’agit pour Émilie Marsh, auteure-compositrice-interprète et guitariste, native de Puilboreau et dont le second album, Nevada, a pour thème le voyage. Si l’artiste est avide de liberté et d’évasion en ces temps troublés, elle n’aime pas non plus être enfermée dans une catégorie musicale particulière. « C’est très dur en tant qu’artiste de nous catégoriser dans un style ou dans un autre. Je chante en français mais je fais à la fois du rock, de la pop… »
Née d’un père anglo-saxon passionné de musique folk et d’une mère française plus encline à l’importance des mots de la langue de Molière, cette mixité de genre a non pas influencé comme s’en défend Émilie mais plutôt apporté de la couleur dans ses compositions.
“Je dégage une énergie plutôt rock”
« Je dégage une énergie plutôt rock dans ce que je fais, j’ai des influences multiples. Si je devais définir mon identité, ce serait donc un mélange de plusieurs choses j’imagine ».
Armée d’une licence de lettres et de trois années au conservatoire de musiques actuelles d’Aix en Provence, Émilie commence à vivre de son art dès l’âge de 23 ans. « C’était un rêve pour moi de vivre de ma musique et à un moment, j’ai eu le courage de dire : “J’essaie, on verra” ».
👇 Plus d’information dans L’Hebdo 17 du jeudi 24 mars