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Le jeune Mattéo rêve d’aller courir aux USA en tant que pilote professionnel[/caption]
Il rêve d’aller courir un jour aux États-Unis pour y disputer les championnats du monde. En attendant Mattéo De Jesus engrange les performances dans son club angérien.
Sa silhouette frêle et longiligne l’aurait peut-être plus destinée à donner du braquet sur le bitume des petites routes ventées de l’Aunis. Mais depuis l’âge de 5 ans, il en a aujourd’hui 11, le Charronnais Mattéo De Jesus a préféré la terre à l’asphalte au guidon de ses motos de cross. Rencontre avec une étoile montante de la discipline.
À peine leur enfant sorti des couches, les parents de Mattéo décident de lui offrir un quad électrique. « Avec, il ne faisait que des roues arrière », précise Sophie sa maman. Alors une décision s’imposait. « Nous sommes allés à l’école de motocross de Saint-Sauveur-d’Aunis, pour que Mattéo fasse un essai », poursuit Serge son papa, qui lorsqu’il ne manipule pas le parpaing, sert de mécanicien à son fiston sur les courses qu’il dispute.
Pou en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 8 novembre.
Le jeune Mattéo rêve d’aller courir aux USA en tant que pilote professionnel[/caption]
Il rêve d’aller courir un jour aux États-Unis pour y disputer les championnats du monde. En attendant Mattéo De Jesus engrange les performances dans son club angérien.
Sa silhouette frêle et longiligne l’aurait peut-être plus destinée à donner du braquet sur le bitume des petites routes ventées de l’Aunis. Mais depuis l’âge de 5 ans, il en a aujourd’hui 11, le Charronnais Mattéo De Jesus a préféré la terre à l’asphalte au guidon de ses motos de cross. Rencontre avec une étoile montante de la discipline.
À peine leur enfant sorti des couches, les parents de Mattéo décident de lui offrir un quad électrique. « Avec, il ne faisait que des roues arrière », précise Sophie sa maman. Alors une décision s’imposait. « Nous sommes allés à l’école de motocross de Saint-Sauveur-d’Aunis, pour que Mattéo fasse un essai », poursuit Serge son papa, qui lorsqu’il ne manipule pas le parpaing, sert de mécanicien à son fiston sur les courses qu’il dispute.
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