"Entre la géopolitique et le climat, les marchés ne sont pas faciles à suivre", lançait en ce début de semaine Denis Riffaud, le directeur de la minoterie, en regardant le tout premier chargement d'orge arriver sur la plateforme de pesage. Côté récoltes, "l'écho est positif sur les orges, parce qu'on a eu de très belles cultures au printemps. Par contre, le coup de chaud depuis trois semaines a fait du mal et on va souffrir côté blé et colza." La matière première de la minoterie est fournie par 80 sociétaires produisant dans un...
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