Le début de carrière de Sandrine Beauzée ne la destinait pas du tout aux métiers d'art. Elle travaillait dans la communication à Lille. « C'est une deuxième vie ici », lance-t-elle. Vingt dans la communication qui a entraîné une remise en question survenue juste avant la crise Covid. « Je me suis posé des questions fondamentales à ce moment-là », confie-t-elle.
Côté professionnel la réponse a été assez claire, avec une envie de produire de ses mains : « Je l'ai toujours fait à titre de loisirs et d'exutoire pour sortir...
Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.
Abonnement sans engagement
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.