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Matha : le “made in Matha” prend forme

St Jean d'Angély et alentours. Samedi 4 et dimanche 5 juin, 20 jeunes gens, 17 filles et 3 garçons, venant de toute la région ont participé au stage de formation au mannequinat organisé par “Made in Matha“.

Matha : le “made in Matha” prend forme
A suivre sur www.madeinmatha.com et sur la page facebook, madeinmatha.
[caption id="attachment_3322" align="alignnone" width="630"]A suivre sur www.madeinmatha.com et sur la page facebook, madeinmatha. A suivre sur www.madeinmatha.com et sur la page facebook, madeinmatha.[/caption]

Samedi 4 et dimanche 5 juin, 20 jeunes gens, 17 filles et 3 garçons, venant de toute la région ont participé au stage de formation au mannequinat organisé par “Made in Matha“.

Parmi eux, des miss en titre avec Mélissa Creugnet, de Saint-Jean-d’Angély, miss Vals de Saintonge 2015, Marie-Hélène Laronde, de Niort, 1re dauphine de miss Deux-Sèvres, Anaïs Cornardeau, de La Rochelle, miss mannequinat Poitou-Charentes 2016, Clara Augry, de Royan, Miss Prestige Poitou-Charentes 2016, Manon Morineau, de Matha, miss La Rochelle 2016, Manon Rougier, Miss Poitou-Charentes comité officiel Miss France et des candidates de Marennes, Poitiers, Angoulême, Saint Georges de Didonne, Saintes, Niort… Presque toutes et tous sont étudiants.

La formatrice venue de Paris, Ewa Opala, de l’agence Models training, a été agréablement surprise de la qualité des stagiaires, tous motivés et sérieux dans leurs apprentissages. Tous ont fait des progrès considérables en un trop court week-end. Sans dire que les techniques du maquillage de scène (atelier conduit par Christel Bonnaud de Matha) et de la coiffure (atelier conduit par Nadine René Moreau d’Ecoyeux) sont acquises et maîtrisées, tous ont réalisé sur eux-mêmes de véritables prouesses pour se mettre en valeur.

Selon les organisateurs, très satisfaits de ce galop d’essai, « une telle structure est vraiment indispensable pour professionnaliser ce secteur de la mode et de l’élection de miss. On ne peut s’improviser organisateur d’une élection ou d’un défilé. Il y a des codes à respecter et des techniques à utiliser ». Car le mannequinat est un métier à part entière qui consiste à faire vendre les créations. Et Peng Saenpinta a été très écouté quand il a défendu le point de vue du créateur qui tient à mettre ses vêtements en valeur tout en les protégeant le plus possible des agressions extérieures. Dans la même veine, Stéphanie Gauthier, quant à elle, a enseigné l’art de porter ou de recevoir un bouquet, une gerbe… sans nuire au vêtement ou à la photo. Pour finir ce tour d’horizon de ces journées, l’atelier “protection de l’image de tous“ a certainement été l’atelier qui a suscité le plus de questions et d’interrogations. Le contrôle de son image doit devenir une question primordiale pour ne pas nuire à une possible carrière de miss ou de mannequin…

Prochain rendez-vous en septembre. Tous se sont quittés en ayant déjà fixé la date de la prochaine formation. Ce sera le 4 septembre pour préparer le défilé de mode de Peng Saenpinta du 1er octobre à Matha : “de la mode de la rue à la Haute-Couture“.

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