[caption id="attachment_7595" align="aligncenter" width="630"] C'est à partir d'anesthésiant dérobé dans un cabinet dentaire que Vincent produisait sa cocaïne de synthèse (photo d'illustration)[/caption]
Qui aurait pu imaginer qu’à Saint-Sauveur d’Aunis, petit village ô combien paisible, Vincent fabriquait de la cocaïne de synthèse à partir d'anesthésiant ?
À la barre du tribunal correctionnel de La Rochelle, jeudi 8 mars, le trentenaire esseulé et sans avocat n’a pas nié les faits. Il ne s’est pas montré très loquace pour autant. L’histoire commence ainsi : "J’ai croisé un gars derrière la salle des fêtes".
Le 2 juillet 2016, Vincent expliquera s’être fait remettre une boîte de produit pour fabriquer de la cocaïne de synthèse. "Vous avez une réputation de chimiste ?", cherchera à savoir le tribunal. Pas besoin pour Vincent, vivant du RSA et de petits boulots à droite à gauche : "Il avait dû entendre parler. Mais je ne suis pas chimiste Monsieur le président. Vous savez, il suffit juste de faire réduire en chauffant".
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 15 mars.
St-Sauveur-d'Aunis : il fabriquait de la cocaïne de synthèse
Actualités. Qui aurait pu imaginer qu’à Saint-Sauveur d’Aunis, petit village ô combien paisible, Vincent fabriquait de la cocaïne de synthèse à partir d'anesthésiant ?
Publié le 17/03/2018 à 08h00
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